Source : Documents à destination des professionnels en charge de la vaccination - DGS, HCSP, INPES 2013
Le calendrier vaccinal 2014
La simplification du calendrier vaccinal 2013 est l'aboutissement de 4 années de travail du Haut Conseil de la Santé Publique... Cette simplification se poursuit sur le calendrier vaccinal 2014
Le nourrisson
coqueluche : pour proteger les nourrissons qui ne peuvent pas encore etre vaccines, la strategie du cocooning est renforcee pour les adultes en contact avec des nourrissons agés de moins de 6 mois et pour les professionnels de sante et de la petite enfance ; Le rappel de la coqueluche se fait à 25 ans. Les futurs parents sont particulièrement concernés, car la vaccination protège les nourrissons de moins de 3 mois que l'on ne peut pas encore vacciner ; la vaccination sera à nouveau recommandée à l'entourage des nourrissons à l'occasion d'une nouvelle grossesse, si le dernier rappel coqueluche date de plus de 10 ans.
le remplacement du schéma de primovaccination contre la diphtérie (D), le tétanos (T), la coqueluche (vaccin coquelucheux acellulaire : Ca), la poliomyélite (P) et les infections invasives à Haemophilus influenza de type b (Hib) de type « 3+1 » (trois injections à un mois d'intervalle suivies d'un rappel entre 16 et 18 mois), par un schéma simplifié « 2+1 » comportant deux injections aux âges de 2 et 4 mois, suivies d'un rappel avancé à l'âge de 11 mois pour ces cinq valences ;
l'avancement à l'âge de 11 mois des rappels contre l'hépatite B (VHB) et contre les infections invasives à pneumocoque (PnC), selon le schéma de vaccination 2, 4, 11 mois ;
l'administration de la première dose de vaccin (ROR) contre la rougeole, les oreillons et la rubéole pour tous les enfants à l'âge de 12 mois, quel que soit le mode de garde en dehors de période épidémique, la seconde dose étant recommandée entre 16 et 18 mois ;
la vaccination contre les infections invasives à méningocoque de sérogroupe C est quant à elle recommandée à l'âge de 12 mois (en co-administration possible avec la première dose de ROR).
L'enfant et l'adolescent
Infections à HPV : nouveau schéma vaccinal du vaccin Gardasil® Le vaccin quadrivalent Gardasil® contre les infections à papillomavirus humains (HPV) a obtenu le 27 mars 2014 une modification d'Autorisation de mise sur le marché (AMM) permettant l'administration du vaccin en deux doses espacées de six mois chez les jeunes filles âgées de 9 à 13 ans révolus... Lire la suite
un rappel contre la coqueluche (Ca) à l'âge de 6 ans, qui est désormais recommandé avec celui déjà prévu à cet âge là contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite ;
un rappel contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche et la poliomyélite entre 11 et 13 ans avec désormais des concentrations réduites d'anatoxine diphtérique et d'antigènes coquelucheux (dTcaP) ; ce rappel peut être co-administré avec l'une des trois doses de la vaccination contre les infections à papillomavirus humains (HPV) recommandée chez les jeunes filles entre 11 et 14 ans.
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professionnels
Calendrier vaccinal et recommandations 2014 DGS, HCSP, INPES
Calendrier vaccinal
et autres avis 2013
BEH n°14-15 avril 2013
Questions-Réponses sur le calendrier des vaccinations 2013
DGS, HCSP, INPES 2013
Disque vaccinal 2013: En le tournant jusqu'à l'âge désiré, il indique les vaccinations et les rattrapages nécessaires.
INPES 2013
Guide professionnel des vaccinations 2012
CTV, AFSSAPS, InVS
Couverture vaccinale
le dossier de l'InVS
Tous les calendriers
depuis 1996
Fiches grand public
Calendrier simplifié des vaccinations
2013
L'adulte
les rappels contre la diphtérie à dose réduite en anatoxine, le tétanos et la poliomyélite (dTP) se font désormais à âge fixe et non plus à des intervalles de temps (anciens rappels « décennaux »). Compte tenu des données disponibles sur la durée de protection, ceux-ci sont recommandés aux âges de 25, 45 et 65 ans. Puis, compte tenu de l'immunosénescence au-delà de 65 ans, un intervalle de 10 ans est recommandé entre chaque rappel, soit à 75, 85 ans, etc... ;
un rappel contre la coqueluche à dose réduite en antigènes coquelucheux, en complément de la stratégie de cocooning, est recommandé à l'âge de 25 ans (dTcaP).
Par ailleurs, le calendrier vaccinal 2013 introduit de nouvelles recommandations
concernant la vaccination contre :
la grippe saisonnière
Les patients atteints de maladie hépatique chronique avec ou sans cirrhose sont ajoutés à la liste des personnes éligibles à la vaccination ;
les infections invasives à méningocoque de sérogroupe non B Pour les personnes éligibles à la vaccination par un vaccin tétravalent A, C, Y, W135, il est recommandé de privilégier l'utilisation des vaccins tétravalents conjugués (selon les AMM respectives des deux vaccins disponibles en France : à partir de l'âge de un ou 2 ans). Entre 6 mois et un an, seul le vaccin bivalent non conjugué A + C peut être utilisé contre les infections invasives à méningocoque A ;
les infections à papillomavirus humains (HPV) La vaccination des jeunes filles est recommandée entre 11 et 14 ans. Par ailleurs, le rattrapage vaccinal est désormais recommandé jusqu'à l'âge de 20 ans (19 ans révolus), la vaccination étant d'autant plus efficace que les jeunes filles n'ont pas encore été exposées au risque d'infection par le HPV ;
la rage
En pré-exposition, après le schéma J0, J7 et J21 ou 28, les rappels à un an puis tous les cinq ans ne sont plus recommandés systématiquement. Pour les professionnels exposés (vétérinaires, personnels de laboratoire manipulant du matériel contaminé...), les rappels seront fonction du niveau de risque d'exposition et des contrôles sérologiques. Pour les chiroptérologues, le rappel à un an reste systématique, les suivants seront fonction des sérologies annuelles ;
la rougeole, les oreillons et la rubéole Un délai d'au moins neuf mois est à respecter chez une personne ayant reçu des immunoglobulines en prophylaxie post-exposition de la rougeole, avant de la vacciner contre la rougeole, les oreillons et la rubéole ;
la typhoïde Durant la période de difficultés en approvisionnement des vaccins contre la typhoïde, les vaccinations sont assurées exclusivement dans les centres de vaccination habilités contre la fièvre jaune.
Grippe saisonnière
- recommandation de vaccination de la femme enceinte à tout stade de la grossesse
- vaccination des personnes obèses avec un IMC > 40
- arrivée du vaccin vivant atténué administrable par voie nasale aux enfants de 2 à 17 ans, en priorité lors de la 1° administration. (ce vaccin sera peut-être commercialisé à l'automne 2012).
Pneumocoque
- chez les sujets à risque âgés de 5 ans et plus: une seule dose de vaccin polyosidique 23 valent. Réévaluation en cours de la revaccination ultérieure
Tuberculose
- Le département de Mayotte est ajouté aux zones de risque pour lesquelles la vaccination BCG est fortement recommandée
Sujets immunodéprimés
Tableau récapitulatif des vaccinations à réaliser
Surveillance des vaccins
Surveillance des vaccins, politique vaccinale
Vaccin pneumococcique
Vaccins contre les infections dues à certains papillomavirus humains (HPV)
Vaccins contre le virus de l' hépatite B (VHB)
Vaccins contre la grippe
Vaccination anti méningococcique
Dossier ANSM
2012 Téléchargement
professionnels
Calendrier vaccinal
et autres avis 2012
BEH n°14-15
avril 2012
Guide professionnel des vaccinations 2012 CTV, AFSSAPS, InVS
Avec mesvaccins.net,
mes vaccins, c'est clair et net !
Le Guide des vaccinations 2012 :
Le ministère de la Santé, de la Jeunesse, des Sports et de la Vie Associative, et l'INPES mettent aujourd'hui à la disposition des professionnels de santé le « Guide des vaccinations 2012 ». Elaboré par le Comité Technique des Vaccinations, l'AFSSAPS et l'InVS, il présente l'état des connaissances scientifiques les plus récentes sur la vaccination.
Un recueil complet des connaissances sur les vaccinations
L'objectif du Guide des vaccinations 2012 est d'aider tous les professionnels de santé à enrichir et actualiser leurs connaissances dans un domaine qui a récemment évolué. En effet, l'augmentation du nombre de vaccins ainsi que les modifications du calendrier vaccinal ces dernières années peuvent rendre la politique vaccinale difficile à comprendre et à suivre.
Le calendrier vaccinal, la vaccination de populations spécifiques, les principes et les bases immunologiques, la mise sur le marché et les modalités de remboursement par l'assurance maladie ainsi que la politique vaccinale y sont notamment abordés.
Chaque type de vaccination est présenté, non sans avoir rappelé l'épidémiologie des maladies concernées. La recommandation du vaccin contre les infections à papillomavirus humains, la levée de l'obligation de primovaccination BCG des enfants, l'amélioration du taux de couverture vaccinale des enfants contre l'hépatite B ou la révision récente des recommandations concernant la vaccination anticoquelucheuse sont donc autant de sujets abordés dans le Guide des vaccinations 2008.
Ce guide fournit aussi de nombreux renseignements pratiques :
vaccins disponibles en France,
listes d'adresses (centres nationaux de référence,
centres régionaux de pharmacovigilance,
centres de vaccination contre la fièvre jaune et contre la rage),
textes officiels, sites Internet...
Un guide gratuit à l'attention des professionnels de santé
Le Guide des vaccinations 2012 s'adresse à tous les professionnels de santé concernés par la vaccination : médecins généralistes, pédiatres, infectiologues, médecins de protection maternelle et infantile, médecins chargés de la promotion de la santé en faveur des élèves, médecins du travail... Il peut également être utile aux sages-femmes, infirmières et étudiants des filières médicales et paramédicales. Enfin, pharmaciens et professionnels du domaine sanitaire et social y trouveront les réponses aux questions que leur posent fréquemment les familles.
Coqueluche
Vaccination des parents contre la coqueluche : proposition et évaluation de deux pratiques professionnelles en maternité, Haute-Savoie, 2009
BEH n°23 du 15 juin 2010
Hépatite A
Vaccination autour d'un (ou de plusieurs) cas d'hépatite A
Haut Consel de la Santé Publique - Avis du 13 février 2009
Hépatite B - Hépatite C
Surveillance et prévention des hépatites B et C en France
INVS - BEH n°20-21 du 19 mai 2009
Vaccination de rattrapage contre l'hépatite B chez l'adolescent utilisant un schéma à 2 doses
Haut Consel de la Santé Publique - Avis du 13 février 2009
La vaccination contre l'hépatite B en France : maintien des recommandations et renforcement de la couverture vaccinale
Académie de médecine - Communiqué du 15 octobre 2008
Hepatitis B vaccine and the risk of CNS inflammatory demyelination in childhood
OMS - Global Advisory Committee on Vaccine Safety - 8 octobre 2008
Vaccination contre le virus de l'hépatite B en France
Haut Consel de la Santé Publique - Avis du 2 octobre 2008
Vaccination contre le virus de l'hépatite B en France
Haut Consel de la Santé Publique - Avis du 14 décembre 2007
Vaccination des nouveau-nés de mère porteuse du virus de l'hépatite B
Conseil supérieur d’hygiène publique de France - Avis 20 janvier 2007
Conduite à tenir autour d'un cas porteur du virus de l'hépatite B (VHB) en collectivité d'enfant
Conseil supérieur d’hygiène publique de France - Avis 30 septembre 2005
Vaccination contre le virus de l'hépatite B et sclérose en plaques
Haute Autorité de Santé - Rapport d'orientation de la commission d'audition - 9 novembre 2004
Rougeole
Application de toutes les mesures de vaccination recommandées par le plan d'élimination de la rougeole, notamment les mesures de vaccination autour des cas de rougeole en milieu scolaire. Le HCSP rappelle la recommandation de vaccination à deux doses de tous les nourrissons et celle de rattrapage des enfants, adolescents et adultes jeunes non vaccinés.
Haut Conseil de la Santé Publique - Avis du 26 juin 2009
La rougeole : lire l'édito du BEH de l'INVS - calendrier vaccinal 20 avril 2009
Résurgence de foyers épidémiques de rougeole
Message DGS-urgent du 1er octobre 2008
Les données de surveillance épidémiologique ont permis de révéler depuis le début 2008 la survenue de plusieurs foyers épidémiques de rougeole en France (plus de 150 cas).
Dans ce contexte, il est possible que vous soyez amenés à prendre en charge des cas de rougeole.
Vos signalements de tout cas suspect auprès des DDASS, couplés à la confirmation biologique de chaque cas, permettent, d'une part, d'optimiser la mise en place des mesures de protection individuelles et collectives autour des cas et, d'autre part, d'assurer la surveillance de la maladie (la France étant engagée au niveau de la région OMS-Europe, dans un objectif d'élimination de la maladie).
BCG
Vaccination par le BCG chez les enfants nés après la suspension de l'obligation vaccinale et suivis dans les PMI de France - Couverture vaccinale, pratiques vaccinales et connaissances de la politique vaccinale par les médecins vaccinateurs.
INVS - Rapport final - février 2010
La tuberculose. Point sur la vaccination
INPES - collection Repères pour votre pratique - mars 2008
Complications loco-régionales consécutives à la vaccination BCG
Campagne d'information destinée aux médecins généralistes, pédiatres, pédiatres des PMI, dispensaires, CMS - nov 2007
AFSSAPS - maj 20 decembre 2007
Suspension de l'obligation de vaccination par le vaccin BCG chez les enfants et les adolescents
Conseil supérieur d’hygiène publique de France - Avis 9 mars 2007
Méningocoque
Vaccination par le vaccin méningococcique conjugué de sérogroupe C
Haut Conseil de la Santé Publique - Avis du 24 avril 2009
Calendrier vaccinal à proposer, dans le cadre de la campagne de vaccination avec le MenBvac®, aux nourrissons âgés de 2 à 11 mois(résidant dans les zones ciblées par la campagne de vaccination par le MenBvac® 2, ou en mode de garde individuel ou collectif dans ces mêmes zones - Seine Maritime) Haut Conseil de la Santé Publique - Avis du 12 décembre 2008
Vaccination contre les infections invasives à méningocoque B:14:P1.7,16 et contre les infections invasives à méningocoque de sérogroupe C avec le vaccin MenBvac® (en Seine-Maritime) Haut Conseil de la Santé Publique - Avis du 17 octobre 2008
Vaccination anti méningococcique
Depuis 2002,des campagnes de vaccinations ont été mises en place pour lutter contre les infections invasives méningococciques. Cette rubrique regroupe les informations sur les vaccins qui ont été diffusées aux professionnels de santé et aux personnes vaccinées ainsi qu'à leur entourage. AFSSAPS - maj mars 2007
Pneumocoque
Eventuelle évolution des recommandations de vaccination des nourrissons contre les infections invasives à pneumocoque par le vaccin pneumococcique conjugué 13-valent
Haut Conseil de la Santé Publique - Avis du 02 février 2012
Vaccination contre le pneumocoque chez l'adulte et l'enfant âgé de 5 ans et plus infectés par le VIH
Haut Conseil de la Santé Publique - Avis du 02 octobre 2009
Schéma vaccinal de la vaccination par le vaccin anti-pneumococcique congugué heptavalent
Haut Conseil de la Santé Publique - Avis du 17 octobre 2008
Vaccination par le vaccin anti-pneumococcique conjugué heptavalent
chez les enfants de moins de 2 ans et les enfants de 2 à 5 ans
Conseil supérieur d’hygiène publique de France - Avis 19 mai 2006
Rotavirus
Le Haut Conseil de la santé publique a réévalué les recommandations relatives à la vaccination contre les rotavirus des nourrissons âgés de moins de 6 mois comme préconisé dans les conclusions de l'avis du Conseil supérieur d’hygiène publique de France en date du 5 décembre 2006.
Guide des vaccinations : le rotavirus - INPES - edition 2008
Vaccination systématique anti-rotavirus chez les nourrissons de moins de six mois
Comité technique des vaccinations - Rapport du groupe de travail - 28 Mai 2010
Vaccination systématique anti-rotavirus chez les nourrissons de moins de six mois
Conseil supérieur d’hygiène publique de France - Avis 5 décembre 2006
Papillomavirus humain
Prévention des lésions pré-cancéreuses et cancéreures du col de l'utérus
INPES - repères pour votre pratique - juin 2008
Vaccination contre les papillomavirus humains 6, 11, 16 et 18
Conseil supérieur d’hygiène publique de France - Avis 9 mars 2007
Vaccination contre les papillomavirus humains 16 et 18
Conseil supérieur d’hygiène publique de France - Avis 5 décembre 2006
Grippe saisonnière
Vaccination contre la grippe saisonnière de l'enfant et de la femme enceinte
Haut Conseil de la Santé Publique - Avis du 1er février 2008
Grippe - A(H1N1)pdm09
Actualisation des recommandations d'utilisation des antiviraux en période de circulation du virus A(H1N1)pdm09
Haut Conseil de la Santé Publique - Avis du 13 décembre 2011
Extrait de l'avis du HCSP
Nourrissons agés de moins de 1 an : Les critères cliniques d’un cas possible de grippe chez un nourrisson âgé de moins de un an sont :
* une fièvre avec une température supérieure ou égale à 38,5°C dans un contexte épidémique ;
Associée ou non à des :
* symptômes respiratoires signant une atteinte des voies aériennes supérieures ou inférieures,
* troubles digestifs,
* convulsions.
En cas de suspicion de grippe chez un nourrisson âgé de moins de un an, la mise sous traitement antiviral curatif est recommandée s’il existe un facteur de risque de grippe grave (cf. annexe complémentaire 1.2).
Le HCSP recommande la mise sous traitement antiviral curatif par oseltamivir bien qu’il s’agisse d’une prescription hors autorisation de mise sur le marché (AMM) en dehors du contexte de pandémie de niveau 6 de grippe A(H1N1)pdm09 déclarée par l’OMS (cf. annexe complémentaire 1.1).
Les formes cliniques graves d’emblée ou compliquée sont hospitalisées et traitées. Les nourrissons sans facteur de risque présentant un tableau clinique jugé sévère par le médecin peuvent relever d’un traitement antiviral avec consultation hospitalière aux urgences.
Mesures d'accompagnement : Le respect des mesures barrière (isolement pendant la phase symptomatique si possible, lavage des mains et port d'un masque chirurgical pour le cas index) doit être rappelé. Devant tout cas suspect, la recherche de personnes à risque (cf. annexe complémentaire 1.2) parmi l'entourage du cas est recommandée au cours de la consultation. Dans tous les cas, le médecin explique au patient (pour les enfants, à la personne qui en est responsable) qu'il est important de le recontacter ou d'appeler un service d'urgences en cas d'aggravation de son état. Il lui remet la fiche « Recommandations aux personnes malades » téléchargeable sur le site du ministère chargé de la santé. Cas particulier de l'allaitement : une femme suspecte de grippe peut continuer à allaiter son enfant tant que son état et celui du nourrisson le lui permettent et sous réserve du respect des mesures barrière.